A la dérive nous dit-on.
Les élèves de nos jours ont la réputation d’être difficile, de vrais petits monstres. Seulement, il apparait que c’est un malaise général, une jeunesse en déroute dit-on. On dira également que cette jeunesse là n’est que le reflet de la société camerounaise, une société en panne de repère. Dans ce séisme, ce tourbillon, ce tsunami que traverse la jeunesse camerounaise, quelle est la place de l’enseignant.
La question reste assez ouverte, car l’enseignant a perdu de sa superbe auprès des élèves.
Il faut dire que beaucoup de collègues enseignants auraient versé dans des comportements peu recommandés.
Alors dans ce contexte comment s’y prendre.